1914 › FRÉZEFOND FRANÇOIS RENÉ – Blessé 1916

Près d'un soldat sur deux a été blessé au cours de la guerre 1914-1918.|| Mémoire de Villeréal, Droits réservés



– Fiche individuelle
Frézefond François René

 

Né le 8 Juin 1895 à Villeneuve-sur-Lot (Lot-et-Garonne). Fils de Frézefond Jean Henri et de Maisonneuve Louise.
Marié le 21 Avril 1924 à Sainte-Colombe-de-Villeneuve (Lot-et-Garonne) à Aurélie Mané (Institutrice) née le 2 décembre 1896 à Sainte-Colombe-de-Villeneuve (Lot-et-Garonne). Fille de Monié Jean Victor (propriétaire cultivateur) et de Léglu Antoinette Léonie.
Profession : instituteur public.

Classe. 1915. Inscrit sous le N°19 de la liste du Canton de Villeréal. Numéro 1102 au recrutement de Marmande.
Signalement : Taille : 1,69 m. Cheveux : châtain. Yeux : marron. Front : couvert. Nez : moyen rectiligne. Visage : ovale.
Incorporé le 20 Décembre 1914 au 7e Régiment d’Infanterie. Arrivé au corps et soldat de 2e classe le-dit jour.
Passé au 20e Régiment d’Infanterie le 1er Septembre 1915.
Incorporé au 20e Régiment d’Infanterie à compter du 2 Septembre 1915. Arrivé au corps et soldat de 2e classe le-dit jour.
Nommé Caporal le 29 Septembre 1915.

Blessé le 7 Juillet 1916 par éclat d’obus à la joue gauche.

Détaché au Centre d’Instruction ED de Saint-Léger du 1er Mars 1917 au - Juillet 1917.
Nommé Sergent le 20 Juin 1917.
Nommé Aspirant le 20 Juillet 1917.
Arrivé au dépôt du 20e Régiment d’Infanterie le 20 Juillet 1917. Affecté le 9 Août 1917.
Nommé Sous-Lieutenant de réserve par décision du Général Commandant en Chef du 22 Juin 1918.
En congé illimité de démobilisation le 17 Septembre 1919.
Se retire à Villeréal (Lot-et-Garonne).

Passe au 108e Régiment d’Infanterie le 21 Janvier 1920.
Passé Sous-Lieutenant à titre définitif par décret du 14 Juillet 1920 à prendre rang le 1er Juillet 1920 

2 Citations - Ordre de la Division N° 189 du 12 Novembre 1917 : « Jeune Aspirant de belle allure de grand courage et ayant de réelles qualités de chef s’est distingué en Octobre 1917 en forêt d’****** en entreprenant volontairement pendant plusieurs nuits de suite une tentative d’incursion dans un poste ennemi. En particulier s’est avancé de sa personne au contact des guetteurs ennemis qu’il a attaqué à la grenade, faisant ainsi preuve d’intelligence de hardiesse et de ténacité. »

Ordre de l’Armée N° 633 du 14 Septembre 1918 : « Jeune et brillant Officier remarquable entraîneur d’hommes a pris en plein combat le commandement de sa brigade et l’a entrainée sur des positions énergiquement défendues. A enlevé des positions capturant des prisonniers et des mitrailleuses. Pendant la période des combats du 18 au 28 Juillet 1918, s’est toujours tenu aux points les plus exposés et a été pour ses hommes dont il a forcé l’admiration, un bel exemple d’entrain, de courage et de mépris absolu du danger. »

Décoration - Chevalier de la Légion d’Honneur décret du 27 Décembre 1934 – JO du 30 Décembre 1934.

Décédé le 21 Décembre 1937 à Savignac -sur-Leyze (Lot-et-Garonne).