1914 › BORIE JULES - Blessé 1918

Près d'un soldat sur deux a été blessé au cours de la guerre 1914-1918.|| Mémoire de Villeréal, Droits réservés



– Fiche individuelle
Borie Jules

 

Né le 26 avril 1882 à Monpazier (Dordogne) fils de Borie Jean (maçon) et de Cassang Marguerite.
Marié le18 août 1906 à Monpazier (Dordogne) à Bounichou Marthe née le 1 août 1885 à Fumel (Lot-et-Garonne). Fille de Bounichou Jean Marcelin et de Merle Anne Marie.
Ils ont une fille Juliette née le 31 mars 1914 à Villeréal (Lot-et-Garonne).

Classe 1902. Inscrit sous le N° 5 du tirage dans le canton de Monpazier. Numéro matricule 813 au recrutement de Bergerac.
Signalement : Taille : 1,54 m. Cheveux : noir. Sourcils : noir. Yeux : châtain. Front : découvert. Nez : gros. Bouche : moyenne. Menton : rond. Visage : large.
Dispensé article 21 : aîné de dix enfants.
Incorporé le 14 novembre 1903 au 108e Régiment d’Infanterie. Arrivé au corps le dit-jour et soldat de 2e classe.
Passé dans la disponibilité le 18 septembre 1904.
Accomplit une 1ère période d’exercice dans le 108e Régiment d’Infanterie du 17 août au 13 septembre 1908.
Accomplit une 2e période d’exercice dans le 108e Régiment d’Infanterie du 24 mars au 12 avril 1911.
Passé au Régiment d’Infanterie d’Agen le 15 avril 1914.
Rappelé à l’activité par décret de mobilisation générale du 1er août 1914. Arrivé au 20e Régiment d’Infanterie le 11 août 1914.
Passé au 5e Régiment d’Infanterie le 8 août 1917.
Passé au 96e Régiment d’Infanterie le 11 novembre 1917.
Passé au 7e Régiment d’Infanterie le 13 juillet 1918.
Passé au 15e Régiment d’Infanterie le 6 septembre 1918.

Blessé par éclat d’obus, cuisse gauche.

Envoyé en congé illimité le 10 mars 1919.
Se retire à Villeréal (Lot-et-Garonne).

Proposé pour une pension temporaire de 10% pour cicatrice séton partie inféro-interne cuisse gauche suite blessure par éclat d’obus par la commission de réforme de Toulouse du 16 mai 1938.
Proposé pour une pension temporaire de 10% pour reliquat de blessure par éclat d’obus cuisse gauche par la commission de réforme de Toulouse du 20 décembre 1939.
Proposé pour une pension permanente de 10% par la commission de réforme de Toulouse du 20 décembre 1939 pour reliquat de blessure par éclat d’obus cuisse gauche.

Libéré de toutes obligations militaires le 15 octobre 1931.
Décédé le 26 mai 1961 à Villeréal (Lot-et-Garonne)